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.« Vous remerciant par avance, etc.Cette lettre, je l'ai apportée moi-même à l'agence France Presse de Marseille, accompagné de Sabine Mangin et des deux jeunes gens que j'ai présentés au journaliste de service cette nuit-là, avant qu'ils ne repartent vers Cergy.Quarante-huit heures plus tard, l'A.F.P.diffusait dans la Presse une dépêche anodine, édulcorant les points importants de ma déclaration et « oubliant » de mentionner le sabotage de la voiture de Mme Fontaine ! Dans le corps de ladite dépêche était précisé : « Cet I.m.s.a.est animé notamment par M.Jimmy Guieu, écrivain de science-fiction, établi à Aix-en-Provence.»Un singulier raccourci pour diminuer la portée de l'information ! Point question de chercheur mais d'un auteur de science-fiction, dont on souligne qu'il demeure en province !Le même souci de dépréciation se renouvela le mardi 5 février, sur France-Inter, où une interview réalisée par Hugues Girard fut singulièrement amputée par le journaliste de service et réduite à une quarantaine de secondes ! L'introduction du commentateur disait très exactement ceci : « Franck Fontaine qui a disparu pendant une semaine au mois de novembre affirme toujours qu'il a été enlevé par des martiens.Ses deux amis ont été interrogés sous hypnose par des scientifiques marseillais qui eux aussi confirment la version des faits.L'homme qui les a interrogés sous hypnose, Jimmy Guieu, donne les conclusions de son enquête à Hugues Girard » (fin de citation).Et le même commentateur de conclure, après mes « conclusions » tronquées : « Une personne de plus qui croit aux soucoupes volantes.Ovni soit qui mal y pense » (fin de citation).La lettre de protestation que j'adressai le lendemain à Mme Jacqueline Baudrier (P.D.G.de Radio-France), contenait entre autres vérités, ce paragraphe :« Je voudrais aussi rectifier les commentaires, marqués au coin d'un parisianisme exécrable lorsqu'il fut question de « scientifiques marseillais ».L'I.m.S.a.compte aussi des scientifiques du monde entier, dont deux ingénieurs de la Nasa, des chercheurs et scientifiques du Brésil, de l'Espagne, de l'Italie, de l'Allemagne, du Portugal, des Usa, de la Suisse, de la Belgique, etc.Ce qui dépasse singulièrement le cadre des « histoires à la Marcel Pagnol » (.) Enfin, un peu de réflexion devrait permettre de conclure que, si des individus X ou Y se permettent de menacer gravement F.Fontaine, de saboter la voiture de sa mère (et de me menacer moi-même, comme ce fut le cas en juin dernier, à la suite de quoi je déposais une plainte entre les mains du Procureur de la République), il est évident que le problème ovni est autrement sérieux que les histoires de « martiens » (fin de citation [77]).(A la date de la remise du manuscrit à l'éditeur, aucune réponse ne m'était parvenue.)Il est inutile d'épiloguer sur les multiples façons de concevoir et traiter l'information ; là n'est point le propos de cet ouvrage.Jean-Pierre Prévost/Axor (« téléguidé » par Haurrio) nous l'a dit : le but de ce livre est de véhiculer aussi largement que possible, de transmettre fidèlement, des préceptes, des consignes salutaires émanant des Intelligences du Dehors à l'intention des Terriens.Libre à nous de les observer ou de les rejeter.Elles ne nous sont pas imposées, ces consignes, par des « tyrans » venus du cosmos !Phantasmes ? Fuite vers l'irréel, l'imaginaire ? Divagations ? Laissons donc ces hochets pitoyables aux psychanalystes qui identifient les ovni à des symboles sexuels et restons sérieux !Pourquoi douter ou nier ? Ces consignes sont-elles pernicieuses, dangereuses, qui nous incitent à progresser avec plus de Sagesse, à avancer vers le Bien et l'Amour ? Est-il malsain que nous nous préparions psychiquement à recevoir la vérité — quelle qu'elle soit — et à assister ou participer à un Contact, si Contact il y a ? Le 15 août 1980 à Cergy-Pontoise ou ailleurs, à un moment ou à un autre ? Car il y a — ou aura — aussi le cap (fatidique, peut-être ?) de 1983[78].Relisez le message reçu au départ par Franck Fontaine :« L'homme doit être HommeLa bête doit être bêteL'homme qui devient une bêteEngendre vite un monstre ».Et de tels monstres, hélas, la Terre n'en a que trop, aujourd'hui particulièrement !Rappelez-vous aussi le « Pari de Pascal » : « Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est.Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien.Gagez donc qu'il est, sans hésiter.»Hésiterez-vous encore ?C'est votre droit [ Pobierz całość w formacie PDF ]
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