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.pas même une pensée.Je vous dis que vous êtes libre, madame! Vous êtes libre et je vous aime! Cécily! Cécily! Cécily!- Laissez-moi passer, monsieur,.o˘ j'appelle mes gens! Je vous en prie.je vous en prie, monsieur de Pont-Marie, vous ne voudrez pas causer un scandale! Allons! laissez-moi passer! Mais c'est affreux! mais vous êtes fou! "L'autre s'était jeté à ses genoux et l'avait prise dans l'étau de ses brasnerveux et il embrassait follement ses genoux.Cécily, épouvantée et n'osant crier, essayait en vain de se dégager.Elle lui repoussait la têtede ses mains crispées, et maintenant il embrassait ses mains prisonnières.Elle se défendait avec une sombre énergie, mais il la prit brutalement par la taille en continuant de l'étourdir de son langage de fou:"Je t'aime, je t'aime! Cécily! Pourquoi me repousses-tu? Nous pourrions être si heureux! Cécily"Il la serrait contre lui, l'écrasait contre son coeur pendant qu'elle commençait à gémir en renversant la tête.Mais soudain, il l‚cha la pauvre femme en bondissant en arrière et en laissant échapper un cri de douleur.Cécily venait de lui enfoncer la pointe d'une broche dans la joue.il saignait.Il aurait pu être blessé grièvement.Il gronda, furieux, féroce:"Je te dégo˚te donc bien! Eh bien! ma petite, ça ne se passera pa comme ça! Je te dis que je te veux et je t'aurai! "sCertes, à ce moment, M.de Pont-Marie n'avait plus rien de l'homme des salons.C'était une affreuse brute bavante et rageante qui ne demandait qu'à se venger sur sa proie! Cécily tremblait devant lui comme un oisillon sous la chasse de l'émouchet.Il était si menaçant qu'elle n'hésita plus.Miss et son enfant étaient à quelques pas de là.D'une main affolée, elle ouvrit la fenêtre.Elle allait appeler.D'un geste terrible il la fit taire.Elle se tut parce qu'il S'était reculé et qu'fl s'était assis et qu'il lui disait,avec une voix sourde:"Asseyez-vous! Ne craignez rien! Je ne vous toucherai plus! Mais refermez la fenêtre.J'ai quelque chose à vous dire."Et comme elle restait là, immobile, c'est lui qui alla fermer la fenêtre,Elle e˚t pu s'enfuir alors par la porte et elle se dirigea en effet de ce côté,mais il la cloua sur place avec un mot:"Il s'agit de Bernard!- quoi? Bemard? fit-elle, déjà sur une défensive haletante.- Oui, et vous comprenez déjà que ce que j'ai à vous dire ne doit être entendu que de nous.Calrnez-vous! je vous en prie.Regardez-moi.Mon accès est passé.Maintenant, je suis tranquille.Nous avons besoin de tout notre sang-froid.CécilY, vous avez eu tort de me traiter comme vous l'avez fait.Je n'ai plus aucune mesure à garder avec vous.J'ai essayé de vous séduire par mon amitié, mon dévouement de tous les instants.- Par votre hypocrisie.interrompit-elle.- Si vous voulez.nous n'en sommes plus à nous faire des compliments.Mais, puisque l'hypocrisie n'a pas réussi, je vais vous parier avec franchise: Cécily, vous n'êtes pas une honnête femme 1 "Elle se leva:"Misérable! "Mais l'autre ne se démonta point:"Je répète: vous n'êtes point une honnête femme! Vous avez trompéle marquis!- L‚che! l‚che que vous êtes! Vous savez bien que ce que vous dites est faux! Vous profitez de ce que je suis seule pour m'insulter! Mais allez-vous en donc! Allez-vous en!- Chassez-moi! je vous en défie!- Tout de suite, rr˘sérable! "Et elle avança la main vers un cordon de sonnette."Allez donc, sonnez! que j'apprenne à tous que votre fils n'est point celui du marquis du Touchais! "Elle se laissa tomber sur un fauteuil, les yeux hagards et certainementplus morte que vive." Ah! vous vous taisez! reprit de Pont-Marie avec un ricanement sec.,.- que voulez-vous que je réponde à un pareil blasphème? balbutia-t-elle.- Des grand mots! Vous en avez toujours.Vous feriez mieux d'être raisonnable, allez! et de m'écouter gentiment.Remettez-vous, Cécily.on pourrait entrer [ Pobierz całość w formacie PDF ]
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