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.Comme il était peu probable que je rallie Brian à mon opinion, je la gardai pour moi.— Je vais faire de mon mieux, dis-je.Je sais que c’est déplacé en bien des domaines, mais…Une fois encore, il m’interrompit par un baiser.S’il devait continuer à me couper la parole, il avait définitivement trouvé ma méthode préférée.Cela ne résolvait aucun des problèmes entre nous mais je me sentais tellement bien ! Consciente que j’allais me compliquer la vie davantage, je m’abandonnai néanmoins à ce baiser, à son goût, à son odeur, à son contact.Le feu coulait dans mes veines et mon cœur tambourinait dans ma poitrine tandis que je lui montais sur les genoux.Mes mains, se déplaçant selon leur volonté propre, défirent d’un coup, les boutons de sa chemise.Mes doigts bandés rendaient mes gestes maladroits et je perdis patience.L’embrassant toujours comme si ma vie en dépendait, je grattai les bandages avec mes ongles jusqu’à en trouver l’extrémité puis j’arrachai d’un coup le pansement avant de le jeter.Les doigts dorénavant libres, je m’empressai de défaire les derniers boutons de la chemise de Brian pour caresser la peau de son torse.Le peu de pilosité dont il était doté était douce et soyeuse sous ma caresse.Quand je dénichai ses mamelons et les pinçai, il sursauta en gémissant sous moi.Il releva ma chemise et mon soutien-gorge pour dénuder mes seins, ne prenant pas la peine de déboutonner ni de dégrafer quoi que ce soit.Je pinçai de nouveau ses mamelons et il s’avança d’un coup en se saisissant des miens entre ses lèvres adroites.Je gémis à mon tour, mon dos se cambrant malgré moi.Sa langue râpait mes boutons durcis et il les suçait juste assez pour que cela soit presque douloureux.Puis il passa les mains sous mes fesses pour me coller contre lui avant de se lever.L’entourant de mes jambes, je m’accrochai à sa nuque tandis qu’il m’emmenait dans la chambre.Il me posa debout près du lit, puis s’attaqua aux boutons de mon jean.Je profitai de ce moment de distraction pour passer ma chemise par-dessus tête et me débarrasser de mon soutien-gorge.Je repoussai ses mains avant qu’il en ait fini avec mes boutons, mais son cri de protestation mourut dès que je fis glisser sa chemise sur ses épaules.Je tendis la main vers sa ceinture pendant qu’il défaisait les derniers boutons de mon jean.Le fragment de mon esprit qui était encore doté d’un soupçon d’intelligence remarqua que Brian portait à la ceinture un téléphone portable et un autre accessoire de même taille.Je lui en parlerais – car il me semblait qu’il s’agissait d’un minipistolet hypodermique – mais plus tard.Nous avions pour le moment d’autres choses plus importantes à faire.Brian balança ses chaussures tandis que je lui baissais son pantalon et son slip sur les chevilles.J’avais dans l’idée de me mettre à genoux pour le prendre dans ma bouche mais il était apparemment pressé d’en arriver à l’essentiel.Il me poussa sur le lit et se mit à tirer sur mon jean et ma culotte avant de jurer quand tout se bloqua au niveau de mes chaussures de sport.Il jura encore en me les ôtant et réussit finalement à libérer mes jambes du fatras de vêtements.Brian était d’ordinaire un amant lent et doux, appréciant autant les préliminaires et la montée de l’excitation que l’orgasme.Ce soir-là, il était trop pressé, il avait trop envie.Mais moi aussi, je me trouvais dans le même état.Il se laissa tomber sur moi, écartant mes jambes de son genou.Nous n’étions même pas allongés totalement sur le lit.Mes jambes pendaient sur le bord quand il me pénétra d’un coup puissant, presque furieux.Je l’entourai de mes jambes et essayai de tirer son visage à moi pour l’embrasser, mais il me cloua les poignets de part et d’autre de ma tête.Je m’apprêtai à protester devant cette soudaine démonstration de domination.Je voulais le toucher, je voulais sentir ses muscles trembler et son cœur battre sauvagement pendant qu’il me prenait.Pourtant, dès qu’il commença à bouger en moi, mon mécontentement se transforma en un grognement prolongé de plaisir.Il poussait en moi avec une telle force que je sentais le lit bouger sous nos corps.La sueur perlait sur son visage et il respirait bruyamment.Ses mains serraient mes poignets brutalement, me maintenant en place afin qu’il puisse me pilonner aussi fort qu’il le désirait.Mes doigts se crispèrent en poings, mes ongles s’enfonçant dans mes paumes, tandis que j’essayais de contrôler la vague de sensations qui menaçaient de me submerger.Je ne voulais pas aimer ça.Brian était si brutal avec moi que j’allais être contusionnée et irritée ensuite.Probablement que j’aurais déjà dû ressentir de la douleur, mais les endorphines et l’adrénaline ou simplement le désespoir pur m’empêchaient d’avoir mal.La pression sur mes poignets et la sensation d’être clouée auraient dû me mettre en colère.Il n’y avait aucun partage dans cet ébat [ Pobierz całość w formacie PDF ]
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